Pour faire face à ces cyberviolences, l’amélioration de la prise en charge des victimes ainsi que l’implémentation de technologies pour mieux identifier ce type de contenus afin de permettre un retrait plus rapide sont indispensables.
Jean-Christophe Le Toquin, Président de Point de Contact : “Diffuser des contenus intimes d’un mineur est une violation grave, et c’est un phénomène encore mal apprécié alors qu’il touche potentiellement toutes les familles. On peut agir efficacement, mais il faut s’organiser collectivement. Le Laboratoire peut vraiment être la bonne initiative pour ce type de phénomènes.”
La lutte contre les cyberviolences nécessite une coopération internationale et multisectorielle. Point de Contact souhaite associer ses partenaires (les hotlines du réseau INHOPE y compris KCSC, eSafety Commission, NCMEC et IWF) à l’initiative du Laboratoire.
Cette réunion a été organisée dans le cadre de la 5ème édition du Forum de Paris pour la Paix.
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